Il n'y a de batailles perdues d'avance que celles qu'on ne livre pas.

TU ETAIS AUSSI CHARLIE

ALEXIA
née le 11 octobre 1979
décédée le 30 mars 2001


LA SAGA DES AVOCATS ET LES PROUESSES DES TRIBUNAUX

21/04/2015 17:14

Après la mutation promotion de Madame MUNIER PACHEU, première Juge d'instruction nommée dans l'affaire d'Alexia, la Juge LACAULE lui a succédé... Celle ci était convaincue "que cette affaire avait déjà coûté assez cher...!" et  décida préremptoirement de clôturer cette affaire.

Malgré toutes nos requêtes, elle refusa toute mesure d'instruction complémentaire (D1976), et en particulier l'exploitation du téléphone de la victime".... malgrè cet appel qu'Alexia avait reçu le vendredi 30 mars 2001, vers 18h, qui avait précipité son départ, considérant que "cela n'avait pas de rapport avec les faits " (D 1972).     Curieux raisonnement!!

Curieuse attitude pour une juge d'instruction dont la mission première est d'enquêter afin de trouver la vérité.

C'est ainsi que nous avons saisi la chambre de l'instruction de la Cour d'Appel de Toulouse...

Nous produisons copie de l'arrêt N°290 du 12 mai 2006...

Malgré l'extrème légèreté de mon avocat de l'époque Maitre Christian ETELIN, la décision de la Chambre d'Instruction serait " à mourir de rire" si elle n'était pas aussi grave...

En fait et pour résumer :

- le père d'Alexia est un fou furieux paranoïaque

- Alexia n'a pas su maitriser son véhicule

- les pauvres responsables de l'accident ne se sont aperçu de rien 

:"... aucun élément objectif ne permet de certifier que le conducteur du véhicule de marque Peugeot 106  s'est véritablement aperçu que son action perturbatrice a pu être à l'origine de l'accident...!!"

Absurdité et mensonge des Juges.

Selon les témoins les 2 occupants de la 106 grise rapide ont fait demi tour, sont repassés sur les lieux du drame avant de prendre la fuite en direction de Toulouse.

Alors messieurs de la chambre de l'instruction, un peu de sérieux, du respect et une dose d'honneur dans vos décisions nous conviendraient!

Cette attitude pour le moins légère n'a eu pour seul but que de permettre à son successeur la Juge Christelle POUEY-SANTALOU de prononcer une ordonnance de NON LIEU le 7 août 2007 (Ordonnance de NON LIEU).

Celle ci parfaitement réfléchie à décharge de tous les suspects, établi selon l'ignomineux PV de synthèse du Gendarme PEREZ qui tout au cours de son enquête à tout fait  pour protéger les suspects en les évitant pour ne pas les confondre...


Dès la fin 2005, j'ai compris que le système judiciaro - gendarmesque avait décidé de "planter" ce dossier.

Pourquoi?  Pour protéger qui?

C'est pour cela que dès 2005, sur les conseils probablement  à dessein d'un proche, j'ai sollicité Maître Gilbert COLLARD  afin qu'il vienne appuyer mon avocat en cours, Christian ETELIN.

Méfiez vous toujours des ténors, si un jour vous devez solliciter un avocat. Surtout lorsque les témoins n'ont plus de voix, et que leurs fausses notes conduisent à un couac retentissant.

J'ai du, meurtri et désolé, me séparer de ces deux avocats. Mais, très en colère, j'ai saisi la Cour d'Appel d'Aix en Provence par moi même, sans détour. Celle ci a condamné le ténor Gilbert COLLARD à me rembourser la quasi moitié  des honoraires qu'il m'avait ponctionné sans aucune utilité.....

DONT ACTE...